lundi 14 septembre 2009

formation infirmière

Sélestat le, 14 septembre 2009



Négociation du 10 septembre 2009 pour les infirmières : Reconnaissance à BAC + 3 ?
passage à la Catégorie A ?
revalorisation salariale ?
lundi 14 septembre 2009
Le 10 septembre 2009, une nouvelle rencontre a eu lieu entre les organisations syndicales et le Ministère, autour de la refonte statutaire de la catégorie B, pour les personnels paramédicaux.
Une fois encore, le Ministère fait la sourde oreille, et n’a pas l’intention de sortir du bornage défini en inter-fonction publique, pour la mise en œuvre des futures grilles de la catégorie B.
Les engagements du Ministère sur l’intégration des infirmières en catégorie A avec revalorisation salariale ne sont qu’un affichage. La CGT a répété son refus de chantage entre le passage en catégorie A et la perte de la catégorie active pour un départ anticipé en retraite. La pénibilité des métiers hospitaliers, ainsi que les contraintes liées à l’exercice des missions des professionnels doivent prises en compte
Des engagements non tenus !

La Ministre en charge de la Santé avait annoncé au printemps 2009 le passage de tous les infirmier(e)s en catégorie A de la fonction publique avec des revalorisations salariales et l’attribution d’un diplôme universitaire, dans le cadre du schéma LMD (Licence Master Doctorat) !
La reconnaissance du réel niveau de qualification à Bac + 3 minimum est une revendication portée par l’ensemble de la profession et des organisations syndicales depuis 30 ans !
L’UFMICT CGT s’était félicité d’une telle annonce mais restait très vigilante sur l’ouverture des négociations notamment pour ce qui concerne la revalorisation salariale correspondante.
Les premières propositions du ministère ont eu lieu le 10 septembre 2009 et elles ont confirmé les craintes de la CGT.
Une reconnaissance à BAC + 3 ( LMD ) ?

La reconnaissance du diplôme d’infirmière DE à un niveau BAC + 3 correspondant au niveau licence, n’impliquerait pas une intégration dans le système universitaire. Ainsi, la formation d’IDE ne donnerait pas une réelle reconnaissance de licence universitaire.
Les premières propositions du ministère sont plus de la provocation que de la négociation :
- le passage en catégorie A ne serait effectif qu’à partir de 2012 pour les futurs diplômés, et pour les infirmières en exercice cela s’étalerait à partir de 2012 !
Une revalorisation salariale ? Un passage à la catégorie A ?
Perte de la catégorie active pour les IDE ?

La CGT avait annoncé que le passage du grade d’infirmier(e) de la catégorie B en catégorie A devait se traduire par une augmentation significative de la grille de salaire.
Les premières propositions du ministère le 10 septembre sont là encore une véritable provocation. La grille intermédiaire en catégorie B serait mise en place en 2011 et ne comporterait pour toute revalorisation qu’un gain moyen de 3 ou 4 points d’indice, soit 15 € de plus par mois sur tous les échelons de la classe normale !
La grille intermédiaire proposée pour les infirmier(e)s de classe normale serait :
- 2ème échelon, indice 324 passerait à 332 (+ 8 pts)
- 3ème échelon, indice 343 passerait à 346 (+ 3 pts)
- 4ème échelon, indice 367 passerait à 370 (+ 3 pts)
- 5ème échelon, indice 390 passerait à 394 (+ 4 pts)
- 6ème échelon, indice 416 passerait à 420 (+ 4 pts)
- 7ème échelon, indice 446 passerait à 450 (+ 4 pts)
- 8ème échelon, indice 481 passerait à 483 (+ 2 pts)
et la création d’un 9ème échelon, à l’indice 515.
De plus, le passage à la catégorie A pourrait aussi se traduire par un changement de statut pour les IDE, qui disparaitraient de la "catégorie active" avec un droit à la retraite à partir de 55 ans pour basculer vers la "catégorie sédentaire" avec un droit à la retraite à partir de 60 ans.
Une vraie négociation en n’oubliant personne !

La fédération CGT a réclamé l’ouverture de réelles négociations à l’ensemble des grilles de la Fonction Publique Hospitalière. La CGT a réaffirmé son exigence de revaloriser l’ensemble des déroulements de carrière et de reconnaître les réels niveaux de qualifications pour les 3 filières, de l’agent des services hospitaliers (ASH) au directeur, avec pour l’ensemble, une véritable carrière linéaire sans quota, ni ratio, et ce, dès 2009.
En effet, pour la Fédération CGT Santé Action Sociale, il ne saurait être question de diviser les professionnels.
En référence au donnant/donnant du Président de la République, la remise en cause du départ à 55 ans à la retraite pour la fonction publique hospitalière dans le cadre de la reconnaissance de la pénibilité, est un chantage in-envisageable pour la CGT.
Il devrait non seulement être préservé pour les soignantes, mais étendu à d’autres professionnels qui sont usés prématurément par le travail et dont l’espérance de vie est largement inférieure à la moyenne.

vendredi 11 septembre 2009

dossier grippe H1n1

LA CGT, VOUS INFORME


Pandémie Grippe H1N1 : Réunion au ministère de la Santé avec la CGT

Le 24 juillet 2009, le ministère de la santé a convoqué une réunion des professionnels infirmiers, pour évoquer les dispositions prises pour faire face aux risques de la grippe H1N1.

La CGT s’est étonnée de cette restriction à cette seule profession, sachant que le risque de pandémie concerne l’ensemble des professionnels des établissements de santé.
Préalablement, la CGT a indiquée que la mobilisation sur la pandémie grippale ne pourrait empêcher les débats et actions qui ne vont pas manquer suite à la publication du texte de loi HPST.
Le gouvernement ne pourra pas éviter le débat autour des moyens mis à disposition des hôpitaux pour remplir leur mission de service public, que ce soit dans des circonstances exceptionnelles, ou au quotidien.
la réunion était conduite par le directeur adjoint de cabinet du ministre, qui s’est longuement évertué a démontrer que le gouvernement et le président de la république étaient mobilisés, pour faire face au risque de pandémie. Le représentant du ministère
a tenu un discours aux professionnels présents, moins alarmiste que celui qui est livré au grand public, en indiquant toutefois qu’il fallait être prêt à tous les scénarii, même au pire.

Lors de la rencontre, la CGT est intervenue sur trois chapitres :
• les Moyens donnés aux établissements de santé en grandes difficultés budgétaire et les moyens de fonctionnement
• les Droits et conséquences pour les salariés des établissements de soins
• le Financement des mesures prises pour faire face à la grippe H1N1

Sur ces sujets, nous avons posé un certain nombre de questions qui n’ont pas eu de réponse immédiate, le ministère argumentant qu’il ne pouvait pas avoir de réponse à tout aujourd’hui, certains points étant encore soumis à discussion ou arbitrage.

Concernant la vaccination annoncée à grand renfort de communication par le gouvernement, celui-ci prévoit une prise en charge financière au titre du médicament et donc assumée par les assurés sociaux par le biais de la sécurité sociale et de leur mutuelle.

Nous avons demandé que les organisations syndicales confédérales, représentatives de l’ensemble des salariés soient réunies. Il nous semble important que les conséquences sociales et économiques liées au risque d’une pandémie large fasse l’objet d’une concertation au niveau le plus élevé. D’ici fin août, nous serons à nouveau réunis au ministère pour faire état de l’avancement de la situation.

La grippe A H1N1 : définition - symptômes et prévention

La grippe A H1N1 est une maladie respiratoire aiguë contagieuse provoquée par l’un des quelques virus de la grippe A, l’Influenzavirus A sous-type H1N1, réapparue en 2009 sous une forme génétique nouvelle transmissible d’homme à homme.
Ce nouveau virus grippal contient des gènes de plusieurs virus connus d’origine porcine, aviaire et humaine.

Il s’agit d’une grippe qui n’avait jamais circulé auparavant chez l’homme. Ce virus n’est lié à aucun virus ancien ou actuel de la grippe saisonnière.
Depuis le 11 juin 2009, l’OMS a décidé le passage à la phase 6 et la grippe A est considérée comme une pandémie.
Lire notre article sur le bilan de l’OMS

Les personnes présentant les symptômes de la grippe A sont traitées avec du paracétamol et pour les cas plus sévères avec des antiviraux. Les premiers lots de vaccins contre cette nouvelle grippe seront disponibles pour le courant du mois de septembre 2009.
Contamination et symptômes

Le virus se propage généralement par la toux et les éternuements. Au niveau mondial, la mortalité reste faible et ne concerne que des personnes déjà affaiblies. Dans la majorité des cas, les malades n’ont présenté que des symptômes bénins et leur guérison a été rapide et complète.

Cette nouvelle souche de la grippe provoque les mêmes symptômes que la grippe saisonnière.
On peut noter :
- une période d’incubation de 24 à 72 heures,
- une fièvre brutale et élevée, dépassant 38 °C,
- des douleurs musculaires et/ou articulaires,
- une fatigue importante,
- des douleurs à la gorge et éventuellement maux de tête,
- une toux profonde et plutôt sèche,
- une congestion et un écoulement nasal,
- une perte d’appétit,
Dans certains cas, des vomissements et diarrhées.

Les symptômes disparaissent généralement de une semaine à dix jours après leur apparition, mais la fatigue et la toux peuvent parfois persister deux à trois semaines. Le sujet infecté peut être contagieux un jour avant l’apparition des symptômes et le rester pendant sept jours environ.
La prévention de la grippe A : Les masques chirurgicaux et l’hygiène

Le port de masques chirurgicaux est un moyen de limiter l’expansion d’une pandémie de grippe A. Ils doivent être portés par les personnes contaminées car ils limitent la diffusion du virus dans l’air par la toux et les éternuements.
En cas de déclenchement du plan d’urgence, ces masques seront disponibles en très grand nombre dans les hôpitaux et centres de soins. Les masques de protection FFP permettent de protéger les personnes qui les portent. Seuls les masques de type FFP2 ou FFP3 sont suffisamment efficaces contre le virus de la grippe A.

Toutefois, ces masques peuvent devenir un vecteur de contamination lorsqu’ils ont été contaminés par le virus. Il faut donc changer de masque à chaque exposition potentielle au virus sans toucher la partie filtrante avec les mains.

La meilleure prévention contre la grippe A reste l’hygiène. Ainsi, afin de prévenir une contagion en période épidémique, il est nécessaire de se laver les mains au savon plusieurs fois par jour ou d’utiliser des solutions hydro-alcooliques pour se désinfecter les mains, notamment après tout contact physique direct avec une personne potentiellement infectée, ou avec des surfaces potentiellement contaminées par le virus
Un plan de vaccination en septembre-octobre 2009

Le vaccin contre le virus H1N1 est en cours de production et une circulaire du 21 août 2009 du ministère de la Santé et de l’Intérieur informe de l’organisation d’un dispositif de vaccination contre la grippe saisonnière qui pourrait être activé par les préfets à compter du 28 septembre 2009.
Pour effectuer ce plan de vaccination, près de 94 millions de doses de vaccins ont été commandées auprès de quatre laboratoires.
Ce plan rentre dans le cadre du plan de lutte contre la pandémie grippale.


Pandémie Grippe A : un plan de vaccination le 28 septembre 2009
Dans le cadre du risque de pandémie de grippe A, le vaccin contre la grippe saisonnière sera disponible dès la deuxième quinzaine du mois de septembre. Cette mesure répond à une des mesures du plan de vaccination décidé par le gouvernement dans la cadre d’une circulaire pour faire face à une menace sanitaire évolutive exceptionnelle.
En effet, une circulaire du 21 août 2009 du ministère de la Santé et de l’Intérieur informe de l’organisation d’un dispositif de vaccination qui pourrait être activé par les préfets à compter du 28 septembre 2009.
Le plan de vaccination sera proposé gratuitement pendant quatre mois dans des centres créés à cet effet dans chaque département. Le coût de cette vaccination sera pris en charge par l’assurance-maladie qui émettra des bons de vaccination.
La circulaire n’aborde pas la définition des personnes prioritaires pour la vaccination mais le Haut conseil de la santé publique devrait donner son avis le 3 septembre 2009.
Chaque préfet de département sera chargé d’organiser un plan départemental de vaccination, avec au minimum trois centres de vaccination, 1 pour 100 000 habitants, situés en dehors des établissements de santé (gymnase ou salle polyvalente).
Des équipes mobiles assureront la vaccination dans les établissements scolaires, les prisons,..
Les professionnels de santé travaillant dans le système hospitalier public ou privés seront vaccinés dans le cadre d’un dispositif organisé au sein de leur établissement.










Grippe Porcine - A lire attentivement avant de se faire vacciner

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mardi 18 août 2009 par zef
(Source : connection ivoirienne)

PATRIMOINE GENETIQUE DU VIRUS
Ce virus continue d’être une énigme pour les virologues. Dans le numéro de Nature du 30 Avril 2009, il y a une citation d’un virologue disant : " d’où diable a-t-il bien pu récupérer tous ces gènes que nous ne connaissons pas " ? Une analyse approfondie du virus a montré qu’il contenait le virus originel H1NI de 1918, le virus de la grippe aviaire, et deux nouveaux gènes du virus H3N2 d’Eurasie. Les discussions continuent sur le fait que le virus de la grippe porcine pourrait être un virus génétiquement conçu.
Les principaux concurrents sont Baxter Pharmaceuticals et Novartis Pharmaceuticals. Ces deux multinationales ont passé des accords avec l’ OMS (Organisation Mondiale de la Santé) pour produire un vaccin contre la pandémie.
Le vaccin de Baxter, appelé Celvapan, a rapidement obtenu un certificat d’autorisation de mise en vente. Il est basé sur une nouvelle technologie virale cellulaire, qui utilise des cellules cultivées provenant du singe vert africain. Les tissus de ce même animal transmettent un certain nombre de virus contaminant les vaccins, dont le virus du VIH.
La société Baxter a été associées à deux scandales meurtriers. Le premier s’est passé en 2006 quand des composants hémophiles ont été contaminés par le virus du VIH et ont été injectés à des dizaines de milliers de personnes, dont des milliers d’enfants. Baxter a continué à mettre sur le marché des vaccins contaminés au VIH même après que la contamination ait été connue.
Le deuxième évènement s’est produit récemment quand on a découvert que Baxter avait mis sur le marché un vaccin contre la grippe saisonnière qui contenait le virus de la grippe aviaire, qui aurait pu produire une véritable pandémie dans 18 pays. Heureusement, des techniciens alertes de laboratoires de République Tchèque ont découvert la combinaison mortelle et ont éventé l’affaire avant que le désastre ne se répande mondialement.
Malgré ces deux évènements mortels, l’ OMS a maintenu son accord avec Baxter Pharmaceuticals pour produire le vaccin contre la pandémie mondiale.
Novartis, le deuxième concurrent, a également un accord avec l’ OMS pour un vaccin contre la pandémie. Novartis semble avoir remporté le contrat, car leur vaccin est bientôt prêt. Ce qui est terrifiant, c’est que ces vaccins contiennent un composant, dénommé adjuvant immunitaire qui est à l’origine de désordres auto immunes dévastateurs, dont l’arthrite rhumatoïde, la sclérose en plaques et le lupus, comme l’ont montré un certain nombre d’études. Alors, quel est ce composant ? Dénommé squalene, c’est un composant huileux. La société Chiron, qui fabrique le vaccin contre l’anthrax mortel, fabrique un adjuvant le MF-59 qui contient deux principaux composants inquiétants - le squalene et le gp120. Un certain nombre d’études ont montré que le squalène peut déclencher, si injecté, toutes les maladies auto immunes citées ci dessus.
Le MF-59 a été utilisé dans plusieurs vaccins. Ces vaccins, dont celui contre le tétanos et la diphtérie, sont les mêmes vaccins fréquemment associés à des réactions négatives.
Il est fondamental de comprendre que ces vaccins sont fourni à titre expérimental, n’ont pas subi de test, sont toxiques et extrêmement dangereux pour le système immunitaire de l’homme. Ils contiennent des adjuvants faits à base de squalène qui provoquent toute une quantité de maladies auto-immunes mortelles ou entraînant des conséquences fâcheuses.
Le squalene dans les vaccins a été fortement lié au Syndrome de la Guerre du Golfe. En Août 1991, Antony Principi, Secrétaire pour les affaires des vétérans, a admis que des soldats vaccinés avec le vaccin contre l’anthrax de 1990 à 1991 avait eu un risque accru de 200% de développer une SLA, (Sclerose Laterale Amyotrophique), maladie mortelle, également dénommée maladie de Lou Gehrig. Les soldats ont également souffert d’un certain nombre de maladies handicapantes et réduisant leur espérance de vie, telles la polyarthrite noueuse, la sclérose multiple ou sclérose en plaques(SEP), le lupus, la myelite transversale ( un désordre neurologique causé par une inflammation de la moelle épiniaire), l’endardite (une inflammation de la paroi interne du coeur), la névrite optique avec cécité et la glomérulonéphrite ( une pathologie du rein).
Parce que le squalene, principal composant dans le MF-59, peut induire une hyper réaction du système immunitaire et provoquer une réaction auto immune, un véritable danger existe d’une activation prolongée des cellules immunitaires du cerveau, les cellules de la microglie (cellules microgliales). Ce genre d’activation prolongée a été fortement associée à des maladies telles la Sclérose en Plaques, la maladie d’Alzheimer, la Sclérose Latérale Amyotrophique, et peut être aussi l’encéphalite liée à une vaccination. Il a été démontré que l’activation du système immunitaire systémique, comme cela se passe lors d’une vaccination, active rapidement en même temps la microglie du cerveau, et cette inflammation du cerveau peut persister pendant de longues périodes.
De même, comment le gp120 arriverait-il jusqu’au cerveau ? Des études d’autres adjuvants immunitaires utilisant des traceurs techniques précis ont montré qu’ils entrent habituellement dans le cerveau après vaccination. Ce que la plupart des gens ne savent pas, même les docteurs qui recommandent les vaccins, c’est que la plupart de ces études de ces firmes pharmaceutiques n’observent les patients que seulement pendant une ou deux semaines après la vaccination. Ce type de réaction peut prendre des mois ou même des années avant de se manifester. Vous devez garder à l’esprit qu’une fois que le vaccin est injecté, vous ne pouvez pas faire grand chose pour vous protéger - au moins avec la médecine conventionnelle. Cela peut vouloir dire une vie affectée par une maladie invalidante et une mort prématurée.
Dr Russell Blaylock 07/07/09
Selon le journaliste d’investigation Matsumoto :
"Matsumoto dit que le squalène peut être considéré comme le déclencheur d’une authentique arme biologique. Les chercheurs soviétiques l’ont baptisé « bombe à retardement biologique !!! »... Matsumoto et le Dr Pam Asa doivent conclure que « ces types d’adjuvants (huileux) constituent l’arme chimique la plus insidieuse qui ait jamais été conçue ».Ceci comprend également le squalène. Depuis les années ’80, les soviétiques savaient que ces produits pouvaient être employés comme armes chimiques. voir son article sur le site belge + médecin expovaccins.over-blog.com/article-33523595.html

par Sarah Connor
Impression
Les groupes de pression s’inquiètent auprès des autorités américaines d’éventuels effets secondaires du vaccin contre la grippe porcine qui doit être administré à l’automne.

Les membres de la Food and Drug Administration américaine se sont réunis la semaine dernière pour discuter du nouveau vaccin contre la grippe porcine, appelée officiellement A/H1N1. De vives critiques se sont élevées contre la vaccination, non seulement pendant la conférence, mais surtout pendant le déjeuner.
La même histoire s’est produite mercredi lors d’une réunion des experts en charge de décider quel laboratoire aura la faveur de l’administration des États-Unis, alors que les laboratoires pharmaceutiques sont dans la dernière ligne droite pour produire un vaccin, le contrôler et distribuer toutes les doses en l’espace de quelques semaines.
Vicky Debold, infirmière certifiée du National Vaccine Information Center, remet en cause la sécurité apportée par le nouveau vaccin, et elle est également membre du comité consultatif en matière de prévention contre les maladies infectieuses. Le fondateur du groupe, Barbara Loe Fisher, a posé des questions très dérangeantes pendant cette réunion.
Lyn Redwood, président de SafeMinds, un cénacle d’experts qui se penche sur un lien potentiel entre le mercure et les désordres neurologiques, a lui aussi fait part de ses réserves au cours de la réunion. Le gouvernement fédéral des Etats-Unis se révèle d’ailleurs plus enclin qu’il ne l’a jamais été pour écouter les interrogations, les critiques et les préventions contre les vaccins, au terme d’une évolution de plus de 30 ans dans la pratique de la vaccination de masse.
« Nous savons que certains sont peu disposés pour vacciner et ils ont prêté l’oreille à une information pertinente », fait valoir le Dr Anne Schuchat, des US Centers for Disease Control and Prevention, devant des journalistes américains dans la soirée de mercredi. Les problèmes abordés sont les suivants :
Un vaccin contre un virus tel que celui du porc va-t-il provoquer des réactions plus néfastes qu’un vaccin de la grippe saisonnière ?
Ses additifs spécifiques, présentés comme des adjuvants, provoquent-ils des réactions ?
Sa formule comporte-t-elle du thimérosal, un conservateur à base de mercure, dont les critiques prétendent qu’il est la cause de troubles ?
Est-il dangereux de vacciner en même temps contre la grippe saisonnière et la nouvelle grippe H1N1 ?
La grippe porcine H1N1 a essaimé dans le monde entier en quelques semaines, infectant des millions de personnes et tué plus de 800 d’entre elles, selon les statistiques officielles. Pour le moment considérée comme une pandémie « modérée » selon les normes de l’Organisation Mondiale de la Santé, cette affection pourrait empirer dans l’hémisphère nord avec le retour des températures fraîches, plus propices à la propagation du virus.
5 laboratoires sont en compétition pour obtenir le marché des États-Unis du vaccin contre le virus H1N1 de la grippe : la filiale australienne de CSL Ltd, MedImmune d’AstraZeneca, GlaxoSmithKline Plc, Novartis AG et Sanofi-Aventis SA. CSL a commencé les tests sur son vaccin avec des échantillons humains et les poursuivra le mois prochain aux États-Unis. Les National Institutes of Health vont comparer les vaccins avec et sans adjuvants, des ingrédients qui amplifient la réponse du système immunitaire au vaccin.
Des adjuvants sont employés dans les vaccins pour la grippe en Europe, mais pas aux États-Unis. Bien qu’il soit possible d’y obtenir une autorisation en cas de nécessité absolue, les officiels américains préfèrent pour le moment employer des vaccins dépourvus d’adjuvants. Des laboratoires, comme Glaxo se disent prêts à commencer la vaccination en Europe dès que les résultats des tests commenceront à émerger, fin septembre. D’autres ne le sont pas pour l’instant et contestent les délais.
À la FDA, le Dr Hector Izurieta déclare que l’agence a mis en place un réseau particulièrement étendu pour une évaluation post-marketing. « Si quelque chose se produit après la vaccination, on accusera le vaccin », a-t-il indiqué au cours de la réunion de la semaine dernière. « Il y aura beaucoup, beaucoup d’analyse au sujet de ce qui ce produirait, ou pas, en lien avec la vaccination » ! Les experts et les professionnels de santé se souviennent de la dernière campagne de vaccination contre la grippe en 1976, la maladie n’ayant finalement pas été constatée ailleurs que dans l’enceinte d’une base militaire.
Plusieurs centaines de cas d’une affection neurologique rare et paralysante, la maladie de Guillain-Barre, ont été rapportés ensuite et bien qu’aucun lien formel n’ait jamais été trouvé avec le vaccin. Le problème a rendu un grand nombre de gens méfiant en ce qui concerne les immunisations. Plus récemment, les craintes se portent sur thimérosal, accusé d’engendrer l’autisme, et le produit incriminé a été retiré de la plupart des vaccins administrés aux États-Unis.
Au lieu de combattre les préventions, le Dr Anne Schuchat propose que les CDC les prennent en compte. « Il y aura des formulations exemptes de thimérosal pour ces personnes intéressées par cette sorte de préparation », a-t-elle indiqué.

congés annuels

LA CGT, VOUS INFORME
Congés Annuels : le directeur modifie la donne !

Suite au dernier CTE du mois de mai 2009, le directeur modifie le règlement intérieur signé en 2003 pour l'application des 35 heures au centre hospitalier de Sélestat.
Notre organisation syndicale a toujours été opposée au remaniement de ce règlement intérieur.
Après un été difficile dû au manque d'effectif chronique, au manque de personnel de remplacement, à la fermeture des lits, nous apprenons la mise en place en catimini par les ressources dites humaines d'un comptage malicieux des heures effectuées les dimanches et jours fériés pour l'octroi de deux jours supplémentaires dans le cadre des CA attribués aux agents à repos variable!
Sont des agents en repos variable, les agents qui travaillent au moins 10 dimanches ou jours fériés pendant l'année civile.
Que prévoit la réglementation ?
Décret 2002-8 du 4 janvier 2002

Les congés annuels :
La durée du congé est calculée du premier au dernier jour, déduction faite des repos hebdomadaires et des jours fériés.
Un agent dont le congé annuel se termine la veille de son repos hebdomadaire peut prétendre au bénéfice de ce dernier.
L'autorité investie du pouvoir de nomination permet à chaque agent de bénéficier de trois semaines de congés annuels consécutives durant la période d'été, sauf contrainte impérative de fonctionnement du service.
Les agents chargés de famille bénéficient d'une priorité pour le choix des périodes de congés annuels.

Aucune fraction de congé annuel ne doit avoir une durée supérieure à 31 jours consécutifs.

L’agent entrant ou sortant en cours d’année a droit à 2 jours de congé par mois de présence.

Tout agent présent du 1er janvier au 31 décembre dispose d'un droit à congés annuels :
De 25 jours ouvrés,
De 1 ou 2 jours pour congés pris hors saison
De 1 jour pour fractionnement en 3 périodes de 5 jours.

Par mesure de simplication de gestion ; il est considéré que chaque agent présent toute l’année a droit à 28 jours de congé. ( agent dit à repos fixe)

L’agent à repos variable a droit à 28 jours et à 2 jours supplémentaires s’il effectue au moins 20 dimanches et jours fériés dans l’année.(avant il suffisait de 10 dimanches et jours fériés)
Espérons que cette mesure se fasse au prorata du temps de dimanches et jours fériés travaillés, sinon il y a peu d'élus!!
Cette mesure prise sans aucune note de service est un manque total de respect et de transparence envers les salariés .
Une régression sociale inacceptable!
Les différentes réunions de travail pour la révision du règlement intérieur fin 2008 n’ont pas abouti faute de dialogue social et d’un échange constructif et honnête de la part de la direction . Le vrai débat aurait dû être fait en inter-syndicale .

Une fois de plus, pour éponger le déficit, la Direction demande au personnel de payer la note. Cette note est d’autant plus salée que des emplois sont supprimés ou gelés, des congés annuels sont supprimés, que des contractuels perdent leur boulot, que les conditions de travail se dégradent un peu plus Alors que de nombreuses équipes soignantes sont en souffrance et en grande difficulté, faute d’avoir les effectifs suffisants, la direction remet en cause le règlement intérieur

Non, nous, les représentants du personnel du syndicat CGT, nous disons fermement non à ces mesures qui contribuent à démotiver le personnel, à dégrader un peu plus chaque jour la qualité des soins et le service public auquel nous sommes fortement attachés.

Qui sème la misère , récolte la colère !
Sélestat le, 7 septembre 2009

ordre infirmier et cotisation

LA CGT, VOUS INFORME


Sélestat le, 11 septembre 2009

ORDRE INFIRMIER







Au moment où le Conseil National de l’Ordre Infirmier (CNOI) adresse aux professionnels un appel à inscription et à cotisation à la structure ordinale, les organisations syndicales CFTC, CFDT, FO, Snics-FSU, SUD Santé, UNSA et CGT réunies le 08 septembre 2009, rappellent leur opposition ferme et sans condition à la mise en place de l’ordre infirmier.

C’est pourquoi, l’intersyndicale appelle les infirmier(e)s à refuser l’ordre par un boycott de l’inscription et un boycott de la cotisation !

Fort de l’expérience de refus d’inscription de masseurs- kinésithérapeutes et de pédicures podologues face à la mise en place de structures ordinales pour leurs professions, le Conseil National de l’Ordre Infirmier a demandé au gouvernement d’intégrer un article à la Loi HPST pour organiser l’inscription automatique. Ce qu’il a obtenu dans l’article 63 qui stipule que « L’ordre national des infirmiers a un droit d’accès aux listes nominatives des infirmiers employés par les structures publiques et privées et peut en obtenir la communication. « Ces listes nominatives sont notamment utilisées pour procéder, dans des conditions fixées par décret, à l’inscription automatique des infirmiers au tableau tenu par l’ordre » Un décret d’application rendra effective cette procédure. Le courrier adressé aux professionnels étant précipité, inapproprié, voire injustifié :

Nous appelons les salariés à ne pas retourner ce dossier intrusif et inquisiteur de 8 pages, ni les pièces réclamées et ce d’autant que le traitement des informations recueillies sera sous traité à une société extérieur au CNOI. Cet appel au non renvoi du dossier, se complète d’un appel au boycott de la cotisation !

L’intersyndicale :
- Organisera une conférence de presse la semaine prochaine
- Propose à ses structures la construction d’une initiative nationale avec une déclinaison locale, départementale voire régionale au cours du mois de septembre pour permettre aux salariés d’exprimer collectivement leur opposition à cette structure !
- A cette occasion les dossiers vierges recueillis par les intersyndicales locales et départementales pourraient être déposés aux DDASS ou aux ARH !

Les personnels :
- Ont besoin de moyens pour remplir leurs missions dans leur quotidien professionnel ;
- Réclament des effectifs supplémentaires pour améliorer les conditions de travail et les conditions de prise en charge des patients ;
- Réclament une revalorisation salariale qui reconnaisse leur qualification et leurs responsabilités !

hold-up et régression sociale

LA CGT, VOUS INFORME
Règlement intérieur : le directeur modifie la donne !

Sélestat le, 10 septembre 2009



Nous, organisation syndicale représentée au Comité Technique d'Etablissement (CTE) du centre hospitalier de Sélestat , avons pris acte avec la plus vive inquiétude du nouveau règlement intérieur annoncé par la direction, et dénonçons la méthode concernant à mettre les partenaires sociaux devant le fait accompli.
Suite au dernier CTE du mois de mai 2009, le directeur modifie le règlement intérieur signé en 2003 pour l'application des 35 heures au centre hospitalier de Sélestat.
Notre organisation syndicale a toujours été opposée au remaniement de ce règlement intérieur.
Après un été difficile dû au manque d'effectif chronique, au manque de personnel de remplacement, à la fermeture des lits, nous apprenons la mise en place en catimini par les ressources dites humaines d'un nouveau règlement intérieur.
Régression sociale et hold-up sur nos acquis!!

Déjà en 2008 nous avions pensé que la situation financière de l’établissement, aggravée par les nouveaux mécanismes budgétaires et tarifaires, ne pouvait se résoudre en faisant porter principalement par le personnel non-médical le poids des mesures de retour à l’équilibre.
(- 67 000 €)

L’année écoulée, marquée par le paiement des heures supplémentaires et l'absorption du personnel d'Obernai due à la fermeture de la maternité et de la chirurgie, a vu la situation de nombreux services se détériorer progressivement, dans une spirale faisant s’enchaîner tensions sur les effectifs, recours aux heures supplémentaires, absentéisme, difficultés de remplacement, mobilité intempestive… Nous affirmons que la conséquence évidente sur les conditions de travail du personnel a elle même entraîné une fragilisation des conditions d’accueil et de soins des patients. Et pour beaucoup de personnels administratifs et techniques, la situation est tout aussi préoccupante.

Les différentes réunions de travail pour la révision du règlement intérieur fin 2008 n’ont pas abouti faute de dialogue social et d’un échange constructif et honnête de la part de la direction . Le vrai débat aurait dû être fait en inter-syndicale.

Aussi nous ne pouvons comprendre que les nouvelles mesures visent le personnel de manière aussi brutale :
La remise en cause non négociée de l’organisation et des horaires de travail est faite sans discernement, avec la volonté d’uniformiser à la baisse différentes dispositions (horaires , repas, congés annuels …) qui donnaient à la fois la souplesse nécessaire aux fonctionnements des services et le minimum de compensation pour des personnels astreints à une disponibilité toujours croissante.

Alors que la situation de l’établissement rendrait indispensable un dialogue social de qualité, afin de retrouver la cohésion indispensable pour surmonter les difficultés, celui-ci se limite de plus en plus à une simple information. Des sujets aussi cruciaux que les suppressions d’emploi et la remise en cause du temps de travail demanderaient la volonté d’analyser ensemble tous les aspects de l’organisation de l’hôpital, y compris l’organisation médicale au cœur de toutes les activités, de rapprocher les points de vues et d’écouter les propositions de tous les acteurs.


Nous avions déjà regretté à plusieurs reprises que les informations indispensables nous parvenaient tardivement. Cette fois-ci, tout en déplorant la communication tardive des documents, nous constatons de plus l’importance des décisions déjà prises dont le CTE ne pourrait faire que le simple enregistrement.

Nous attendons que la direction nous donne des signaux clairs de la reprise d’un vrai dialogue. Au nom des personnels, nous ne laisserons pas réduire leur place à celle de simples spectateurs de la lente démolition de l’hôpital public, des emplois et des conditions de travail. Nous défendrons leur santé, l’équilibre avec leur vie familiale, et l’attachement qu’ils portent, simplement, à faire un travail de qualité, dans l’intérêt du service public et de ses usagers.


Les représentants du personnel cgt du centre hospitalier de Sélestat




La cgt appelle les personnels à la grève du 7 octobre 2009, pour manifester massivement leur opposition à ce plan d’économie.