vendredi 11 septembre 2009

dossier grippe H1n1

LA CGT, VOUS INFORME


Pandémie Grippe H1N1 : Réunion au ministère de la Santé avec la CGT

Le 24 juillet 2009, le ministère de la santé a convoqué une réunion des professionnels infirmiers, pour évoquer les dispositions prises pour faire face aux risques de la grippe H1N1.

La CGT s’est étonnée de cette restriction à cette seule profession, sachant que le risque de pandémie concerne l’ensemble des professionnels des établissements de santé.
Préalablement, la CGT a indiquée que la mobilisation sur la pandémie grippale ne pourrait empêcher les débats et actions qui ne vont pas manquer suite à la publication du texte de loi HPST.
Le gouvernement ne pourra pas éviter le débat autour des moyens mis à disposition des hôpitaux pour remplir leur mission de service public, que ce soit dans des circonstances exceptionnelles, ou au quotidien.
la réunion était conduite par le directeur adjoint de cabinet du ministre, qui s’est longuement évertué a démontrer que le gouvernement et le président de la république étaient mobilisés, pour faire face au risque de pandémie. Le représentant du ministère
a tenu un discours aux professionnels présents, moins alarmiste que celui qui est livré au grand public, en indiquant toutefois qu’il fallait être prêt à tous les scénarii, même au pire.

Lors de la rencontre, la CGT est intervenue sur trois chapitres :
• les Moyens donnés aux établissements de santé en grandes difficultés budgétaire et les moyens de fonctionnement
• les Droits et conséquences pour les salariés des établissements de soins
• le Financement des mesures prises pour faire face à la grippe H1N1

Sur ces sujets, nous avons posé un certain nombre de questions qui n’ont pas eu de réponse immédiate, le ministère argumentant qu’il ne pouvait pas avoir de réponse à tout aujourd’hui, certains points étant encore soumis à discussion ou arbitrage.

Concernant la vaccination annoncée à grand renfort de communication par le gouvernement, celui-ci prévoit une prise en charge financière au titre du médicament et donc assumée par les assurés sociaux par le biais de la sécurité sociale et de leur mutuelle.

Nous avons demandé que les organisations syndicales confédérales, représentatives de l’ensemble des salariés soient réunies. Il nous semble important que les conséquences sociales et économiques liées au risque d’une pandémie large fasse l’objet d’une concertation au niveau le plus élevé. D’ici fin août, nous serons à nouveau réunis au ministère pour faire état de l’avancement de la situation.

La grippe A H1N1 : définition - symptômes et prévention

La grippe A H1N1 est une maladie respiratoire aiguë contagieuse provoquée par l’un des quelques virus de la grippe A, l’Influenzavirus A sous-type H1N1, réapparue en 2009 sous une forme génétique nouvelle transmissible d’homme à homme.
Ce nouveau virus grippal contient des gènes de plusieurs virus connus d’origine porcine, aviaire et humaine.

Il s’agit d’une grippe qui n’avait jamais circulé auparavant chez l’homme. Ce virus n’est lié à aucun virus ancien ou actuel de la grippe saisonnière.
Depuis le 11 juin 2009, l’OMS a décidé le passage à la phase 6 et la grippe A est considérée comme une pandémie.
Lire notre article sur le bilan de l’OMS

Les personnes présentant les symptômes de la grippe A sont traitées avec du paracétamol et pour les cas plus sévères avec des antiviraux. Les premiers lots de vaccins contre cette nouvelle grippe seront disponibles pour le courant du mois de septembre 2009.
Contamination et symptômes

Le virus se propage généralement par la toux et les éternuements. Au niveau mondial, la mortalité reste faible et ne concerne que des personnes déjà affaiblies. Dans la majorité des cas, les malades n’ont présenté que des symptômes bénins et leur guérison a été rapide et complète.

Cette nouvelle souche de la grippe provoque les mêmes symptômes que la grippe saisonnière.
On peut noter :
- une période d’incubation de 24 à 72 heures,
- une fièvre brutale et élevée, dépassant 38 °C,
- des douleurs musculaires et/ou articulaires,
- une fatigue importante,
- des douleurs à la gorge et éventuellement maux de tête,
- une toux profonde et plutôt sèche,
- une congestion et un écoulement nasal,
- une perte d’appétit,
Dans certains cas, des vomissements et diarrhées.

Les symptômes disparaissent généralement de une semaine à dix jours après leur apparition, mais la fatigue et la toux peuvent parfois persister deux à trois semaines. Le sujet infecté peut être contagieux un jour avant l’apparition des symptômes et le rester pendant sept jours environ.
La prévention de la grippe A : Les masques chirurgicaux et l’hygiène

Le port de masques chirurgicaux est un moyen de limiter l’expansion d’une pandémie de grippe A. Ils doivent être portés par les personnes contaminées car ils limitent la diffusion du virus dans l’air par la toux et les éternuements.
En cas de déclenchement du plan d’urgence, ces masques seront disponibles en très grand nombre dans les hôpitaux et centres de soins. Les masques de protection FFP permettent de protéger les personnes qui les portent. Seuls les masques de type FFP2 ou FFP3 sont suffisamment efficaces contre le virus de la grippe A.

Toutefois, ces masques peuvent devenir un vecteur de contamination lorsqu’ils ont été contaminés par le virus. Il faut donc changer de masque à chaque exposition potentielle au virus sans toucher la partie filtrante avec les mains.

La meilleure prévention contre la grippe A reste l’hygiène. Ainsi, afin de prévenir une contagion en période épidémique, il est nécessaire de se laver les mains au savon plusieurs fois par jour ou d’utiliser des solutions hydro-alcooliques pour se désinfecter les mains, notamment après tout contact physique direct avec une personne potentiellement infectée, ou avec des surfaces potentiellement contaminées par le virus
Un plan de vaccination en septembre-octobre 2009

Le vaccin contre le virus H1N1 est en cours de production et une circulaire du 21 août 2009 du ministère de la Santé et de l’Intérieur informe de l’organisation d’un dispositif de vaccination contre la grippe saisonnière qui pourrait être activé par les préfets à compter du 28 septembre 2009.
Pour effectuer ce plan de vaccination, près de 94 millions de doses de vaccins ont été commandées auprès de quatre laboratoires.
Ce plan rentre dans le cadre du plan de lutte contre la pandémie grippale.


Pandémie Grippe A : un plan de vaccination le 28 septembre 2009
Dans le cadre du risque de pandémie de grippe A, le vaccin contre la grippe saisonnière sera disponible dès la deuxième quinzaine du mois de septembre. Cette mesure répond à une des mesures du plan de vaccination décidé par le gouvernement dans la cadre d’une circulaire pour faire face à une menace sanitaire évolutive exceptionnelle.
En effet, une circulaire du 21 août 2009 du ministère de la Santé et de l’Intérieur informe de l’organisation d’un dispositif de vaccination qui pourrait être activé par les préfets à compter du 28 septembre 2009.
Le plan de vaccination sera proposé gratuitement pendant quatre mois dans des centres créés à cet effet dans chaque département. Le coût de cette vaccination sera pris en charge par l’assurance-maladie qui émettra des bons de vaccination.
La circulaire n’aborde pas la définition des personnes prioritaires pour la vaccination mais le Haut conseil de la santé publique devrait donner son avis le 3 septembre 2009.
Chaque préfet de département sera chargé d’organiser un plan départemental de vaccination, avec au minimum trois centres de vaccination, 1 pour 100 000 habitants, situés en dehors des établissements de santé (gymnase ou salle polyvalente).
Des équipes mobiles assureront la vaccination dans les établissements scolaires, les prisons,..
Les professionnels de santé travaillant dans le système hospitalier public ou privés seront vaccinés dans le cadre d’un dispositif organisé au sein de leur établissement.










Grippe Porcine - A lire attentivement avant de se faire vacciner

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mardi 18 août 2009 par zef
(Source : connection ivoirienne)

PATRIMOINE GENETIQUE DU VIRUS
Ce virus continue d’être une énigme pour les virologues. Dans le numéro de Nature du 30 Avril 2009, il y a une citation d’un virologue disant : " d’où diable a-t-il bien pu récupérer tous ces gènes que nous ne connaissons pas " ? Une analyse approfondie du virus a montré qu’il contenait le virus originel H1NI de 1918, le virus de la grippe aviaire, et deux nouveaux gènes du virus H3N2 d’Eurasie. Les discussions continuent sur le fait que le virus de la grippe porcine pourrait être un virus génétiquement conçu.
Les principaux concurrents sont Baxter Pharmaceuticals et Novartis Pharmaceuticals. Ces deux multinationales ont passé des accords avec l’ OMS (Organisation Mondiale de la Santé) pour produire un vaccin contre la pandémie.
Le vaccin de Baxter, appelé Celvapan, a rapidement obtenu un certificat d’autorisation de mise en vente. Il est basé sur une nouvelle technologie virale cellulaire, qui utilise des cellules cultivées provenant du singe vert africain. Les tissus de ce même animal transmettent un certain nombre de virus contaminant les vaccins, dont le virus du VIH.
La société Baxter a été associées à deux scandales meurtriers. Le premier s’est passé en 2006 quand des composants hémophiles ont été contaminés par le virus du VIH et ont été injectés à des dizaines de milliers de personnes, dont des milliers d’enfants. Baxter a continué à mettre sur le marché des vaccins contaminés au VIH même après que la contamination ait été connue.
Le deuxième évènement s’est produit récemment quand on a découvert que Baxter avait mis sur le marché un vaccin contre la grippe saisonnière qui contenait le virus de la grippe aviaire, qui aurait pu produire une véritable pandémie dans 18 pays. Heureusement, des techniciens alertes de laboratoires de République Tchèque ont découvert la combinaison mortelle et ont éventé l’affaire avant que le désastre ne se répande mondialement.
Malgré ces deux évènements mortels, l’ OMS a maintenu son accord avec Baxter Pharmaceuticals pour produire le vaccin contre la pandémie mondiale.
Novartis, le deuxième concurrent, a également un accord avec l’ OMS pour un vaccin contre la pandémie. Novartis semble avoir remporté le contrat, car leur vaccin est bientôt prêt. Ce qui est terrifiant, c’est que ces vaccins contiennent un composant, dénommé adjuvant immunitaire qui est à l’origine de désordres auto immunes dévastateurs, dont l’arthrite rhumatoïde, la sclérose en plaques et le lupus, comme l’ont montré un certain nombre d’études. Alors, quel est ce composant ? Dénommé squalene, c’est un composant huileux. La société Chiron, qui fabrique le vaccin contre l’anthrax mortel, fabrique un adjuvant le MF-59 qui contient deux principaux composants inquiétants - le squalene et le gp120. Un certain nombre d’études ont montré que le squalène peut déclencher, si injecté, toutes les maladies auto immunes citées ci dessus.
Le MF-59 a été utilisé dans plusieurs vaccins. Ces vaccins, dont celui contre le tétanos et la diphtérie, sont les mêmes vaccins fréquemment associés à des réactions négatives.
Il est fondamental de comprendre que ces vaccins sont fourni à titre expérimental, n’ont pas subi de test, sont toxiques et extrêmement dangereux pour le système immunitaire de l’homme. Ils contiennent des adjuvants faits à base de squalène qui provoquent toute une quantité de maladies auto-immunes mortelles ou entraînant des conséquences fâcheuses.
Le squalene dans les vaccins a été fortement lié au Syndrome de la Guerre du Golfe. En Août 1991, Antony Principi, Secrétaire pour les affaires des vétérans, a admis que des soldats vaccinés avec le vaccin contre l’anthrax de 1990 à 1991 avait eu un risque accru de 200% de développer une SLA, (Sclerose Laterale Amyotrophique), maladie mortelle, également dénommée maladie de Lou Gehrig. Les soldats ont également souffert d’un certain nombre de maladies handicapantes et réduisant leur espérance de vie, telles la polyarthrite noueuse, la sclérose multiple ou sclérose en plaques(SEP), le lupus, la myelite transversale ( un désordre neurologique causé par une inflammation de la moelle épiniaire), l’endardite (une inflammation de la paroi interne du coeur), la névrite optique avec cécité et la glomérulonéphrite ( une pathologie du rein).
Parce que le squalene, principal composant dans le MF-59, peut induire une hyper réaction du système immunitaire et provoquer une réaction auto immune, un véritable danger existe d’une activation prolongée des cellules immunitaires du cerveau, les cellules de la microglie (cellules microgliales). Ce genre d’activation prolongée a été fortement associée à des maladies telles la Sclérose en Plaques, la maladie d’Alzheimer, la Sclérose Latérale Amyotrophique, et peut être aussi l’encéphalite liée à une vaccination. Il a été démontré que l’activation du système immunitaire systémique, comme cela se passe lors d’une vaccination, active rapidement en même temps la microglie du cerveau, et cette inflammation du cerveau peut persister pendant de longues périodes.
De même, comment le gp120 arriverait-il jusqu’au cerveau ? Des études d’autres adjuvants immunitaires utilisant des traceurs techniques précis ont montré qu’ils entrent habituellement dans le cerveau après vaccination. Ce que la plupart des gens ne savent pas, même les docteurs qui recommandent les vaccins, c’est que la plupart de ces études de ces firmes pharmaceutiques n’observent les patients que seulement pendant une ou deux semaines après la vaccination. Ce type de réaction peut prendre des mois ou même des années avant de se manifester. Vous devez garder à l’esprit qu’une fois que le vaccin est injecté, vous ne pouvez pas faire grand chose pour vous protéger - au moins avec la médecine conventionnelle. Cela peut vouloir dire une vie affectée par une maladie invalidante et une mort prématurée.
Dr Russell Blaylock 07/07/09
Selon le journaliste d’investigation Matsumoto :
"Matsumoto dit que le squalène peut être considéré comme le déclencheur d’une authentique arme biologique. Les chercheurs soviétiques l’ont baptisé « bombe à retardement biologique !!! »... Matsumoto et le Dr Pam Asa doivent conclure que « ces types d’adjuvants (huileux) constituent l’arme chimique la plus insidieuse qui ait jamais été conçue ».Ceci comprend également le squalène. Depuis les années ’80, les soviétiques savaient que ces produits pouvaient être employés comme armes chimiques. voir son article sur le site belge + médecin expovaccins.over-blog.com/article-33523595.html

par Sarah Connor
Impression
Les groupes de pression s’inquiètent auprès des autorités américaines d’éventuels effets secondaires du vaccin contre la grippe porcine qui doit être administré à l’automne.

Les membres de la Food and Drug Administration américaine se sont réunis la semaine dernière pour discuter du nouveau vaccin contre la grippe porcine, appelée officiellement A/H1N1. De vives critiques se sont élevées contre la vaccination, non seulement pendant la conférence, mais surtout pendant le déjeuner.
La même histoire s’est produite mercredi lors d’une réunion des experts en charge de décider quel laboratoire aura la faveur de l’administration des États-Unis, alors que les laboratoires pharmaceutiques sont dans la dernière ligne droite pour produire un vaccin, le contrôler et distribuer toutes les doses en l’espace de quelques semaines.
Vicky Debold, infirmière certifiée du National Vaccine Information Center, remet en cause la sécurité apportée par le nouveau vaccin, et elle est également membre du comité consultatif en matière de prévention contre les maladies infectieuses. Le fondateur du groupe, Barbara Loe Fisher, a posé des questions très dérangeantes pendant cette réunion.
Lyn Redwood, président de SafeMinds, un cénacle d’experts qui se penche sur un lien potentiel entre le mercure et les désordres neurologiques, a lui aussi fait part de ses réserves au cours de la réunion. Le gouvernement fédéral des Etats-Unis se révèle d’ailleurs plus enclin qu’il ne l’a jamais été pour écouter les interrogations, les critiques et les préventions contre les vaccins, au terme d’une évolution de plus de 30 ans dans la pratique de la vaccination de masse.
« Nous savons que certains sont peu disposés pour vacciner et ils ont prêté l’oreille à une information pertinente », fait valoir le Dr Anne Schuchat, des US Centers for Disease Control and Prevention, devant des journalistes américains dans la soirée de mercredi. Les problèmes abordés sont les suivants :
Un vaccin contre un virus tel que celui du porc va-t-il provoquer des réactions plus néfastes qu’un vaccin de la grippe saisonnière ?
Ses additifs spécifiques, présentés comme des adjuvants, provoquent-ils des réactions ?
Sa formule comporte-t-elle du thimérosal, un conservateur à base de mercure, dont les critiques prétendent qu’il est la cause de troubles ?
Est-il dangereux de vacciner en même temps contre la grippe saisonnière et la nouvelle grippe H1N1 ?
La grippe porcine H1N1 a essaimé dans le monde entier en quelques semaines, infectant des millions de personnes et tué plus de 800 d’entre elles, selon les statistiques officielles. Pour le moment considérée comme une pandémie « modérée » selon les normes de l’Organisation Mondiale de la Santé, cette affection pourrait empirer dans l’hémisphère nord avec le retour des températures fraîches, plus propices à la propagation du virus.
5 laboratoires sont en compétition pour obtenir le marché des États-Unis du vaccin contre le virus H1N1 de la grippe : la filiale australienne de CSL Ltd, MedImmune d’AstraZeneca, GlaxoSmithKline Plc, Novartis AG et Sanofi-Aventis SA. CSL a commencé les tests sur son vaccin avec des échantillons humains et les poursuivra le mois prochain aux États-Unis. Les National Institutes of Health vont comparer les vaccins avec et sans adjuvants, des ingrédients qui amplifient la réponse du système immunitaire au vaccin.
Des adjuvants sont employés dans les vaccins pour la grippe en Europe, mais pas aux États-Unis. Bien qu’il soit possible d’y obtenir une autorisation en cas de nécessité absolue, les officiels américains préfèrent pour le moment employer des vaccins dépourvus d’adjuvants. Des laboratoires, comme Glaxo se disent prêts à commencer la vaccination en Europe dès que les résultats des tests commenceront à émerger, fin septembre. D’autres ne le sont pas pour l’instant et contestent les délais.
À la FDA, le Dr Hector Izurieta déclare que l’agence a mis en place un réseau particulièrement étendu pour une évaluation post-marketing. « Si quelque chose se produit après la vaccination, on accusera le vaccin », a-t-il indiqué au cours de la réunion de la semaine dernière. « Il y aura beaucoup, beaucoup d’analyse au sujet de ce qui ce produirait, ou pas, en lien avec la vaccination » ! Les experts et les professionnels de santé se souviennent de la dernière campagne de vaccination contre la grippe en 1976, la maladie n’ayant finalement pas été constatée ailleurs que dans l’enceinte d’une base militaire.
Plusieurs centaines de cas d’une affection neurologique rare et paralysante, la maladie de Guillain-Barre, ont été rapportés ensuite et bien qu’aucun lien formel n’ait jamais été trouvé avec le vaccin. Le problème a rendu un grand nombre de gens méfiant en ce qui concerne les immunisations. Plus récemment, les craintes se portent sur thimérosal, accusé d’engendrer l’autisme, et le produit incriminé a été retiré de la plupart des vaccins administrés aux États-Unis.
Au lieu de combattre les préventions, le Dr Anne Schuchat propose que les CDC les prennent en compte. « Il y aura des formulations exemptes de thimérosal pour ces personnes intéressées par cette sorte de préparation », a-t-elle indiqué.

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